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 Darren McAddams ― « You gotta be kidding me ! »

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Darren McAddamsDarren McAddams
|| Fondateur ||


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Messages : 98
Date d'inscription : 16/08/2010

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Age du personnage : 32 ans
Pouvoir: Aucun
Relations:


Darren McAddams ― « You gotta be kidding me ! » _
MessageSujet: Darren McAddams ― « You gotta be kidding me ! »   Darren McAddams ― « You gotta be kidding me ! » EmptyMar 7 Sep - 20:17

« You gotta be kidding me ! »



Darren MCADDAMS | feat. Jensen Ackles
Darren McAddams ― « You gotta be kidding me ! » 5l5u9i
©Luce
► Identité : Darren McAddams
► Age: 32 ans
► Lieu de naissance : New York
► Nationalité : Américaine
► Situation amoureuse : Célibataire
► Profession : Lieutenant de police
► Groupe : We represent the order
► Pouvoir, Description et Limites : Aucun, Darren est naturellement immunisé contre le virus.
► Symptômes Récurrents : Aucun non plus.
► Repéré par la SOEV ? Non.





« We've got One Life »


    On aura vu mieux que le Bronx comme quartier pour commencer une vie. Pas de coin à la Wisteria Lane, pas d’Upper East Side pour lui ou autres endroits de ce genre. Darren McAddams ? Un homme plutôt sympathique, assez ouvert, marrant, souvent assez chiant ou pas très supportable, mais qu’on imagine plus venir d’un bled paumé que du côté le moins rose de New York. Et pourtant, la vie dans la rue, il connait. Les vingt premières années de sa vie, il les passa dans cet univers pas très juste et difficile pour beaucoup de ceux qui en sortent, ou qui y sont toujours. Et plutôt que d’avoir le réconfort d’une famille tout de même présente pour lui, il eut droit à un père toujours absent, une mère les trois quarts du temps complètement arrachée et… Personne d’autre. Pas de grands parents, pas de frère ou de sœur pour pouvoir se serrer les coudes, queudal. Darren dut donc se débrouiller seul. Chose pas franchement rare quand on vient du même milieu que lui, mais qui a de quoi marquer n’importe qui. Enfant, confronté à la violence des plus grands, il rêvait de pouvoir un jour se la jouer Superman, aller sauver les jolies filles et surtout : arranger un peu les choses. Si les trois quarts des gens de son milieu ne portaient pas les flics dans son cœur, lui voulait en devenir un. Lui eût la chance de ne pas trop mal tourner malgré tout. La violence, il avait pu la subir et la voir de nombreuses fois, sans doute trop pour un gamin d’ailleurs. Pas le choix ? Indépendant extrêmement tôt, n’ayant pas besoin de papa et maman faute de choix, il réussit à plus ou moins bien se débrouiller. Quelques adultes l’aidèrent, d’autres préférèrent le mettre dans le même panier que tous ces autres gosses difficiles. Non, lui ne serait pas un futur dealer comme la grande majorité le pensait. Lui, il aiderait les gens. Il retournerait dans ce quartier et parviendrait à arranger les choses. Un stupide rêve de gosse en fin de compte. Mais il rencontre tout de même des gens biens, se lie d’amitié avec des enfants comme lui, finalement pleins de rêves, qui aspirent à une vie meilleure que celle à laquelle ils sont confrontés tous les jours. Une enfance pas très rose donc, mais colorée de tous ces espoirs qu’il avait quand même réussi à faire naître en lui malgré ce qui l’entourait.

    L’adolescence ? Pas franchement brillante non plus. Si Darren conserve ses rêves avec un acharnement sans limite, il reste un jeune qui veut avant tout profiter de sa vie. Les études, on verra bien plus tard. Quelques amis donc, beaucoup de conneries aussi, rien de bien folichon au final. Dans ses écoles, il passe pour un mec populaire, avec qui on peut rire facilement, mais qui est du genre à prendre aussi les autres de haut. Les filles sont des objets avec lesquels il s’amuse, sans plus. A l’époque, aucune ne pouvait se vanter d’avoir réellement attiré son attention. Ses notes n’étaient pas non plus exceptionnelles, mais il trouvait toujours un moyen de s’arranger pour passer au niveau supérieur. Un don de débrouillardise qui, finalement, ne le quittera jamais. Et tant mieux ! Capable de s’entendre avec n’importe qui, le contraire était aussi possible. L’important était qu’il reste la star de son établissement. Qu’on lui laisse au moins ça, il avait une famille merdique et continuait de vivre majoritairement dans la rue. Les bagarres n’étaient pas rares : son point de vue divergeait de celui des autres jeunes de son âge, et il n’était pas rare de le voir débarquer en cours dans un sale état. Il fut par la même occasion contraint de constater que dans son quartier, si les flics faisaient souvent des descentes, ils ne s’arrêtaient que très rarement pour stopper les choses, jouant aux aveugles. Lui, il ne serait pas de ce genre-là. Admirant ces hommes autant qu’il les méprisait, l’adolescent pensait encore pouvoir arranger les choses une fois qu’il serait des leurs. Comme quoi, c’est beau de rêver. Enfin.

    A vingt ans, il se tire de son quartier définitivement, agacé et blessé au fond par tous ces types qui ne veulent pas seulement bouger le petit doigt pour arranger les choses. Blasé par les jeunes de la rue qui disaient vouloir mieux et ne rien faire pour, et pas ces membres des forces de l’ordre qui n’apportaient pas l’aide nécessaire. Oui, le quartier d’où il venait était extrêmement sensible, mais ça ne voulait pas dire qu’on devait le laisser à l’abandon. Darren entre dans une école de police, se trouve aussi un appartement en se prenant un job de serveur dans un café à côté de l’école… Et travaille dur pour s’en sortir et joindre les deux bouts, chose dont il avait finalement l’habitude, puisque ses parents n’avaient jamais été là. Il continue d’avoir quelques copines en parallèle, jusqu’à tomber sur Cassandra. Si tout commence comme pour toutes les autres, les choses finissent par changer quand il se rend compte qu’il a de réels sentiments pour elle. Ils forment un couple, un vrai, chose qui lui tombe dessus pour la première fois de sa vie. Et forcément, ils doivent faire face à tous les problèmes qu’ils sont susceptibles de croiser. Ajoutons à ces derniers le caractère parfois très difficile de Darren plus un déménagement de la demoiselle… Et on eût malheureusement droit à une énième rupture. Sauf qu’il ne se remit pas au bout de quelques heures cette fois-ci. En colère contre la demoiselle, il lui en voulut pendant un moment et même s’il s’en moque bien aujourd’hui, il n’a pas spécialement envie de retomber sur elle. Lui ? Père ? En effet, mais il ne le sait même pas.

    Ses études finissent par aboutir quelques années plus tard. Darren devient enfin policier et pense pouvoir œuvrer pour un environnement meilleur dans les quartiers difficiles de la ville. Il essaya, personne ne pourra jamais dire le contraire. Il se donna même corps et âmes à sa mission, jusqu’à être dégoûté de cette dernière. Aucun effort des deux côtés, comme si rien ne pouvait changer, alors que lui considérait qu’il représentait assez bien l’exemple du mec qui avait voulu s’en sortir, qui s’en était donné les moyens et qui avait fini par réussir. De là lui vient son côté blasé. Continuant évidemment de travailler avec un coéquipier qu’il considérait comme un excellent ami, pas le meilleur puisque ce rôle était pris depuis de nombreuses amis par un certain Caleb Donovan, sa vie eût le mauvais goût du train train quotidien jusqu’à ce que le virus ne vienne foutre son nez dedans. Et n’allons pas penser que ce fut pour lui faire plaisir. Son coéquipier attrapa la maladie et mourut. Autour de lui, plusieurs de ses proches furent des victimes de l’épidémie, chose qu’il supporta naturellement mal. Lui ? Il mit peu de temps à comprendre qu’il était naturellement immunisé contre cette dernière, puisque nombre de ses repas avaient été partagés avec les défunts. Même sa petite amie du moment mourut. Et si aujourd’hui, la plupart des personnes l’entourant pensent qu’il a été indifférent à ces pertes, la vérité est toute autre. Disons seulement que Darren est un homme particulièrement fier qui n’a jamais eu pour habitude d’étaler ses sentiments ou ses problèmes. Quand les infectés spéciaux apparaissent, il est témoin de la campagne du Gouvernement lancée contre ces derniers, soutenant largement l’organisation de la SOEV. Finalement, les forces de l’ordre sont obligés de collaborer avec ces derniers, et Darren se retrouve à faire parfois équipe à une jeune femme particulièrement étrange : Mila Swanton. Le courant ne passe pas spécialement, mais d’un autre côté…

    Son propre meilleur ami est indirectement la victime du virus lui aussi, puisque sa copine l’a contracté et est devenue elle aussi spéciale, si bien qu’elle préfère encore disparaître plutôt que de rejoindre la SOEV. Il l’aide, bien entendu, dans le dos de Mila, mais ne sait plus trop quoi penser. Entre l’organisation qui leur dit que les infectés spéciaux sont dangereux, chose qu’il a pu d’ailleurs voir de ses propres yeux, et des hommes qui ont l’air de tout sauf de psychopathes… Peut-être que le Gouvernement et la SOEV disent vrais ? Peut-être que le virus augmente effectivement l’agressivité des infectés spéciaux ? Darren se pose aujourd’hui beaucoup de questions et ne sait pas franchement sur quel pied danser. Si sa raison et sa logique lui disent d’écouter bien gentiment les ordres, son instinct répond qu’il y a quelque chose de bizarre dans cette affaire-là. A éclair.


« What about my Soul ? »


    Homme fort au caractère bien trempé, Darren a toujours su s’imposer là où il le souhaitait, ou presque toujours. Conscient de cette facilité qu’il a à se faire écouter, il l’utilise, en abuse parfois, mais étrangement, s’il arrive à agir pour certaines choses là où les autres échouent, celles qui lui tiennent le plus à cœur semblent systématiquement refuser de se laisser régler par lui. De la malchance sans doute. Peu importe, l’homme a l’habitude des coups et les surmonte souvent sans problème apparent, et fort comme il est, on s’imaginerait presque qu’il pourrait ressortir de n’importe quelle situation. Il est l’image type du mec qui sait ce qu’il fait, qui le fait bien ou qui s’arrange pour que les choses se passent bien. Avec la vie qu’il a eue, il sait ce que c’est que de persévérer. Abandonner ? Le mot ne fait pas partie de son vocabulaire, puisqu’il serait plus synonyme que de défaite que de réel abandon. Fier et fort, il ne supporte pas ceux qui n’insistent pas pour des choses qui leur tiennent à cœur, considérant qu’on doit tout donner pour ce que l’on veut. Une fois qu’il est impliqué dans une affaire, inutile d’essayer de l’en ressortir : il ne le fera pas tant que cette dernière ne sera pas réglée. Et même si sa vie a été une suite de déception, il ne laisse pas tomber. La preuve, il aspire encore et toujours à des jours meilleurs malgré son enfance, son adolescence et la destruction progressive de ses rêves. Admettons qu’il ne voyait pas vraiment le boulot de flic se limiter à « collaborer avec la SOEV et manger des donuts » comme le gouvernement semble le concevoir aujourd’hui. Très juste et tolérant, Darren ne supporte pas les mauvais traitements. Ces derniers représentent extrêmement bien ce qui l’horripile au plus haut point, et son caractère impulsif fait qu’il peut devenir assez violent après avoir été spectateur de l’un d’entre eux. L’injustice n’a pas sa place dans le monde selon lui, aussi s’efforce-t-il de lutter contre elle… A son échelle. Mais il faut bien que quelqu’un commence à le faire.

    Aussi ne supporte-t-il pas non plus qu’on mette à l’écart une personne pour ses différences ou autre, d’où le mal qu’il a par rapport à cette sorte de traite des infectés spéciaux. Il n’approuve pas mais doit pourtant faire avec malheureusement. Et il a été témoin de suffisamment de choses pour savoir que la SOEV a tout de même un rôle à jouer. Pourtant, c’est bien le fait d’avoir assisté à un bon nombre de catastrophes, de délits, de mauvais traitements et d’injustice qui le rendent si blasé : sorte de protection pour rester fort face à toutes ces choses qui le déçoivent toujours et qui sont devenues sont quotidien. C’est triste à dire, mais au final, on s’y habitue. Surtout quand on a grandi dans la rue. Mais il n’aurait jamais pensé arriver à ce point-là, si bien qu’il en arrive à plaisanter. Plaisanter sur des choses graves… C’est sûr, son humour ne plaît pas à tout le monde, mais Darren est tellement franc et dit les choses d’une manière si crue que d’un certain côté, on ne peut pas s’empêcher de le trouver drôle. Tout est normal au final pour lui, alors autant en plaisanter plutôt que de se lamenter sur son sort. C’est clair, quitte à choisir, il préfère la première option, même s’il doit passer pour un insensible ou un je-m’en-foutiste de première. Ironique, on pourrait penser que rien n’est sérieux pour lui, parce qu’il répondra toujours avec cette petite pointe d’humour et de provocation qui peuvent autant amuser que déplaire. Il rit rarement en revanche, et à moins d’une blague sacrément drôle ou d’une remarque complètement à côté de la plaque, on aura du mal à décrocher autre chose qu’un sourire amusé. En gros, Darren serait plutôt l’homme qui fait et dit les conneries, mais qui ne rigolera pas, ou seulement très rarement. Ou encore avec des personnes qu’il considère comme extrêmement proches de lui. Son meilleur ami n’a pas le moindre mal à y arriver, mais dans le fond, le policier considèrerait presque qu’ils sont assez semblables.

    Si l’homme est très tolérant sur les plans amicaux et professionnels, il ne peut en revanche pas s’empêcher de jouer les machos. Populaire auprès de la gente féminine, il n’a jamais eu à se plaindre d’un manque d’intérêt de la part des femmes et, de ce fait, les considère souvent comme acquises. Oui, Darren est plus du genre à leur en faire baver qu’à leur courir après. Pourquoi pas pour une nuit ? Mais si ça concerne plus, il n’est pas preneur. Les sentiments amoureux ne sont pas très positifs selon lui et ses propres expériences, mieux vaut rester détachés. En revanche, évidemment, il apprécie une demoiselle pour ses traits et ses formes. Le caractère ? Admettons qu’il importe peu étant donné que ses relations dépassent rarement le temps d’une nuit, et que le policier sait très bien comment virer les pots de colle. En gros… C’est bien malheureux à dire, mais il considère les femmes comme des sortes d’objets avec lesquels s’amuser un peu. N’allons pas non plus penser qu’il est incapable de se lier d’amitié avec certaines d’entre elles ! Disons plutôt qu’il y a une « certaine catégorie » bonne pour passer à la casserole, et les autres… Bonnes pour discuter ?


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